effet yoyo également sur mallemort 13 et salon de provence
Les prix semblent repartir à la hausse
Le 30/06/2009 à 22h06
effet yoyo également sur mallemort 13 et salon de provence
Le 01/07/2009 à 21h47
Le 02/07/2009 à 07h52
Le 03/07/2009 à 23h09
Modifié le 03/07/2009 à 23h13
Modifié le 03/07/2009 à 23h13
Un Trader Britannique a réalisé en début de semaine des transactions anormales qui auraient fait grimper le baril de plus de 2 dollars à 73 . Le marché du pétrole de Londres, a affirmé vendredi mener une enquête sur une transaction "non autorisée"
normalement les cours sont revenus à 66 dollars , ce jour
l'OPEP est satisfaite de cette accalmie , et des cours redescendus
Le 04/07/2009 à 03h38
Modifié le 04/07/2009 à 03h39
Modifié le 04/07/2009 à 03h39
oranien
La cause de la grimpette du pétrole :
Un Trader Britannique a réalisé en début de semaine des transactions anormales qui auraient fait grimper le baril de plus de 2 dollars à 73 . Le marché du pétrole de Londres, a affirmé vendredi mener une enquête sur une transaction "non autorisée"
normalement les cours sont revenus à 66 dollars , ce jour
l'OPEP est satisfaite de cette accalmie , et des cours redescendus
La cause de la grimpette du pétrole :
Un Trader Britannique a réalisé en début de semaine des transactions anormales qui auraient fait grimper le baril de plus de 2 dollars à 73 . Le marché du pétrole de Londres, a affirmé vendredi mener une enquête sur une transaction "non autorisée"
normalement les cours sont revenus à 66 dollars , ce jour
l'OPEP est satisfaite de cette accalmie , et des cours redescendus
www
Le 04/07/2009 à 13h14
On peut toujours rêver. Tant que les malfaisants ne seront pas définitivement mis hors d'état de nuire, ce sont toujours les honnêtes gens qui continueront à se faire avoir.
Grave.
Un trader indélicat a fait flamber le cours du Brent :
LONDRES (Reuters) - Le courtier pétrolier londonien PVM Oil Futures annonce qu'un de ses traders basés à Londres, Steve Perkins, est responsable de sa perte de près de dix millions de dollars (7,13 millions d'euros) liée à des transactions illégales.
Le courtier a indiqué que Perkins avait pris mardi matin des positions non autorisées sur les cours du Brent.
L'achat massif de contrats sur indice du Brent, mardi sur les marchés asiatiques, avait provoqué une flambée des prix du pétrole, qui avaient atteint leur plus haut niveau de l'année sans que les analystes ou les traders puissent l'expliquer.
Le Brent était monté à 73,50 dollars mardi avant de reperdre brutalement du terrain. Il se traite actuellement entre 66,00 et 66,50 dollars le baril.
PVM Oil Futures a publié un communiqué jeudi confirmant avoir été victime des agissements d'un trader indélicat après des rumeurs qui avaient circulé la veille sur les marchés pétroliers.
"À cause d'une série de transactions illégales, des volumes significatifs de contrats à terme ont été détenus par PVM. Lorsque l'opération a été découverte, les positions ont été débouclées en bon ordre. PVM a accusé une perte totale légèrement inférieure à dix millions de dollars."
PVM a précisé que ses traders n'étaient pas autorisés à prendre eux-mêmes des positions sur les marchés du brut et n'a pas souhaité parler des possibles raisons qui avaient amené Perkins à agir ainsi.
Jeudi, PVM a indiqué avoir ouvert une enquête exhaustive et informé l'Autorité britannique des services financiers de la malversation, de même que l'Intercontinental Exchange, où la majeure partie des contrats à terme sur le Brent sont échangés.
En mai, la FSA britannique avait sanctionné un ancien trader de Morgan Stanley qui avait pris une très importante position non autorisée après un repas trop arrosé.
David Sheppard, version française Nicolas Delame et Gregory Schwartz
Le 06/07/2009 à 06h25
le constat que peuvent faire les simples automobilistes que nous sommes : une fois l'état, une fois les trader, une fois une raison unconnue.... le prix à la pompe monte vite et met toujours beaucoup de temps à redescendre Et pourquoi pas un as en informatique qui provoquerait la chute fictive du prix du baril ? faut pas rêver
Le 06/07/2009 à 16h20
SOIZE13980
BRAVO pour l'info
le constat que peuvent faire les simples automobilistes que nous sommes : une fois l'état, une fois les trader, une fois une raison unconnue.... le prix à la pompe monte vite et met toujours beaucoup de temps à redescendre Et pourquoi pas un as en informatique qui provoquerait la chute fictive du prix du baril ? faut pas rêver
BRAVO pour l'info
le constat que peuvent faire les simples automobilistes que nous sommes : une fois l'état, une fois les trader, une fois une raison unconnue.... le prix à la pompe monte vite et met toujours beaucoup de temps à redescendre Et pourquoi pas un as en informatique qui provoquerait la chute fictive du prix du baril ? faut pas rêver
BRAVO également pour cet avatar. La classe !
Ne rêvons pas trop. Si un informaticien doué était capable d'orchestrer un coup pareil à l'échelle de la Planète, ce ne serait qu'à son seul profit. Charité bien ordonnée commence par soi-même, c'est bien connu.
Dure réalité :
Dès que les cours grimpent à la source, les acheteurs / transporteurs / stockeurs / distributeurs s'empressent d'emboîter le pas, au galop, "en prévision", alors que le produit ne sera livré que dans un mois.
Leurs stocks déjà en place, acquis aux cours anciens, prennent de l'embonpoint. Sans effort.
C'est toujours ça de pris. Pour eux.
Lorsque les cours redescendent, par contre, ils s'empressent… de détourner la tête. Ils ne se sentent plus guère concernés. Et attendent, attendent…
Nous aussi.
Incrédule ? Oyez ! Oyez ! Braves Gens ! Admirez simplement le volume des bénéfices engrangés par les pétroliers. Et méditez…
Le 07/07/2009 à 20h43
Pour s'endormir, un soir...
Golman sach rappel Auj. à 08:33
A LIRE sur forum DJ hier à 17:45 // publié aussi sur gsz/Cielmer
le secret est découvert.
Tyler Durden, le rédacteur du site Zero Hedge, a publié une série d’articles sur le fonctionnement et la liquidité des titres sur le NYSE, qu’il compare à un écosystème. Je renvoie les lecteurs curieux à cet excellent site car le sujet est très complexe et montre à quel point le NYSE ne fonctionne plus normalement. Tentons néanmoins de vulgariser brièvement et commençons par rappeler que l’écart entre le prix de vente ou d’achat (« spread ») d’un titre est fonction de sa liquidité, autrement dit du volume et du nombre de ventes et d’achats quotidiens de ce titre. S’il y a peu d’acheteurs ou de vendeurs, le spread sera très important et un investisseur devra attendre longtemps avant de voir l’exécution de son ordre de bourse. Et c’est là qu’interviennent les différents acteurs que T.Durden énumère par ordre croissant du nombre de transactions quotidiennes: les simples investisseurs, les fonds de pension et autres sicav et finalement les pourvoyeurs de liquidité que sont les « quant funds ». Rappelons qu’un « quant fund » est un fonds d’investissement qui place ses ordres de bourse en fonction de l’analyse quantitative. Cette analyse vise à décrire des mouvements financiers à partir de formules mathématiques. Ces formules s’appuient sur des données financières comme les ratios financiers, la valeur actuelle de cash-flows futurs, le prix d’options, la volatilité induite, etc. Un exemple de « quant fund » est un « statistical arbitrageur » qui s’appuie sur des modèles complexes visant à détecter des anomalies de prix entre des actions qui évoluent habituellement en tandem ou selon un autre paramètre comme un taux de change. Ces anomalies de prix ne durent parfois que quelques heures. Le lecteur aura déjà compris que ces fonds opèrent donc via des programmes de trading obéissant à des modèles mathématiques. Il faut savoir que la vaste majorité des opérations boursières sur le marché ne sont pas des ordres placés par des clients mais sont en fait des petits paquets de transactions qui sont effectuées à très haute fréquence entre différents programmes de trading. Autrement dit, ce sont pour l’essentiel des robots financiers qui s’échangent massivement des titres à très haute fréquence. A titre d’information, signalons que ces robots comprennent: les pourvoyeurs faibles de liquidité (les « market neutral quant funds »), les pourvoyeurs modérés (BGI, Highbridge, Citadel) et finalement les pourvoyeurs de liquidités rapides (Goldman,Sachs, Renaissance Technologies Medallion et Getco).
L’environnement observé ces derniers mois a été particulièrement difficile pour les modèles mathématiques utilisés par les « quant funds » traditionnels car la corrélation entre les actions a été historiquement élevée. (c.à.d. que la plupart des actions, même de natures différentes, évoluent ensemble). Il faut remonter à la situation observée juste après le crash d’octobre 1987 pour voir de tels niveaux de corrélation qui rendent quasi impossible la diminution du risque par la diversification. En fait, ce que peu d’investisseurs réalisent, c’est que la liquidité est progressivement en train de disparaître alors que de plus en plus de quant funds jettent l’éponge et seuls les pourvoyeurs de liquidités rapides mènent la danse en opérant entre eux. Ce qui risque d’avoir un impact très négatif sur les acteurs qui profitent de cette liquidité (c.à.d. les investisseurs, fonds de pension et autres sicav). En fin de journée, les robots financiers clôturent toutes leurs positions alors que les acteurs traditionnels ne le font pas et restent détenteurs de titres dans un marché devenu brutalement illiquide. C’est dans ce contexte de manque de liquidités que l’on a pu assister à des remontées boursières miraculeuses (« short squeeze »), quelques 30 minutes avant la fermeture des marchés…
Signalons que, d’après les statistiques publiées par le NYSE, les robots financiers de Goldman,Sachs jouent un rôle central et, sachant que cette banque est très proche du pouvoir américain, d’aucuns n’hésitent pas à voir une des mains actives de la « Plunge Protection Team » évoquée dans un précédent articleiii.
Le risque, dans un proche avenir, pour les détenteurs de portefeuilles de titres est de se retrouver brutalement dans un marché où les spreads et la volatilité des cours vont atteindre des niveaux exceptionnels. Sans même mentionner l’importance grandissante des « darks pools », ces bourses privées entre grands acteurs (cf un précédent articleiii). Bien entendu, au moment où j’écris ces lignes, la grande presse traditionnelle qui se réjouit de la reprise prochaine de l’économie mondiale n’évoque absolument pas ce risque croissant lié à la crise.
Gagner de l’argent grâce à AIG et aux contribuables américains
Le 07/07/2009 à 20h45
Modifié le 07/07/2009 à 20h48
Modifié le 07/07/2009 à 20h48
Faites de beaux rêves !
On l’a vu, pour l’administration américaine, il est crucial que les banques se remettent à prêter massivement, comme «au bon vieux temps ». Tout est bon pour purger le bilan de ces banques et leur permettre de faire des profits. Et justement, en janvier et février, les grandes banques américaines (Bank of America, Citi, JP Morgan…) ont publié des profits sur base d’opérations performantes de trading. Lesquelles ?
Tyler Durden, révèle qu’apparemment AIG aurait clôturé massivement des portefeuilles entiers de différents types de CDS à hauteur de 1100 mds USD. Mais pour convaincre les différentes contreparties de ces CDS (c.à.d. les banques) d’accepter la résiliation de ces contrats, AIG a accepté d’encourir d’énormes pertes et de payer des montants astronomiques (financés par le contribuable américain). Cette opération a été facilitée par la publication toute récente et bien opportune par l’ISDA (le seul organisme de supervision du marché très opaque des CDS), d’un nouveau protocole. Celui-ci permet aux parties de s’accorder sur un prix (même irréaliste) s’il est difficile d’obtenir un prix de marché (ce qui est facilement le cas sur le marché des CDS !).
Retenons qu’in fine, selon T. Durden, les banques ont engrangé des profits exceptionnels grâce à l’argent des contribuables et ont pu profiter de ces « bons résultats » pour convaincre des investisseurs crédules d’acheter de nouvelles actions fraîchement émises, afin de tenter de les renflouer (avec la bénédiction de l’Administration du Trésor).
Changer les règles du jeu pour ne pas perdre la partie
Imaginons le cas d’un particulier qui achète une œuvre d’art d’un auteur célèbre et qui paye une forte somme. Plus tard, il décide de la revendre et plusieurs acheteurs potentiels constatent que cette œuvre est, en réalité, une copie et que sa valeur de marché est bien inférieure au prix d’achat. Le vendeur décide alors de ne plus la vendre et continue de clamer qu’il a une œuvre de grande valeur, car il l’a achetée très cher! Son attitude est-elle crédible ?
Et pourtant, c’est l’approche des banques. Imaginons un instrument qui est censé générer une série de cash-flow (par exemple des coupons) dans le futur. Il est théoriquement possible de calculer la valeur actuelle de tous ces cash-flows et ainsi la valeur de l’instrument. C’est ce que les banques veulent faire avec les instruments toxiques illiquides. Le problème, c’est qu’il est parfaitement possible qu’un instrument toxique ne génère plus aucun cash-flow si les emprunteurs sous-jacents font défaut. Dans le cas des instruments toxiques, la qualité des sous-jacents n’est pas homogène, de sorte qu’il est encore beaucoup plus difficile que pour les autres instruments d’évaluer la probabilité de défaut des sous-jacents. Une mesure prudentielle serait donc de prendre le point de vue du marché et de considérer ces instruments comme sans valeur. Mais les banques préfèrent enregistrer une perte lorsque les sous-jacents font vraiment défaut et ainsi étaler leurs pertes sur de nombreuses années. Comme elles espèrent que le marché immobilier repartira dans un futur proche, elles ont mené un intense lobbying auprès des autorités pour suspendre partiellement la fameuse règle comptable FASB#157 et ont obtenu gain de cause. On se souvient que le 15 novembre 2007, les ennuis ont véritablement commencé pour les banques avec la mise en application de cette règle qui les obligeait alors à inscrire tous leurs instruments exotiques (RMBS, CDO et autres CDS, etc.) à leurs valeurs de marché plutôt qu’à leurs valeurs théoriques calculées par leurs propres modèles mathématiques. La suspension partielle de FASB#157 a permis aux banques de renouer avec les profits (virtuels !). A titre d’exemple, les 2.5 mds de USD de bénéfice de Citigroup proviennent d’une dévaluation des obligations qu’il a émis (l’idée étant qu’il pourrait les racheter et faire du profit) et de l’assouplissement de FASB#157 (631 millions de USD). Cette marche arrière comptable a entraîné une remontée des cours des actions bancaires alors que fondamentalement rien ne justifie cette remontée. Mais cela permet aux banques de lever du capital frais dont elles ont grand besoin.
extrait de juillet août septembre 2009 des éditions romaines
----- F I N ---
Le 08/07/2009 à 08h40
Même en lecture rapide, en diagonale, on s'explique un peu mieux les jeux de yo-yo des cours des matières premières en général et du pétrole en particulier, trop souvent inexpliqués.
Même du temps de "la criée", non pas aux poissons, mais à la Bourse, où des centaines de personnes s'agitaient en gesticulant avec des signes seulement compréhensibles par les initiés, tout en hurlant, le carnet d'ordres à la main, dans le but de vendre et d'acheter des valeurs cotées, de simples rumeurs diffusées au bon moment suffisaient parfois à infléchir les cours dans le seul intérêt de son initiateur.
Depuis l'informatisation, ce sont les robots qui s'emballent, parfois involontairement par programmation défectueuse, parfois volontairement. Lorsque l'alerte est donnée, la suspension provisoire de séance stoppe les abus, mais toujours trop tard.
De l'autre côté, l'image désuète du boursicoteur mal inspiré par des analyses périmées de plusieurs jours et qui finalement ne comprend pas ce qui lui arrive.
Tant qu'il ne découvrira pas un jour qu'il est détenteur de "produits dérivés" dont on a pu généreusement le doter qui peuvent être constitués, même partiellement, d'infâmes placements ne représentant aucune valeur, il pourra être soulagé et garder quelque espoir…
Le 25/07/2009 à 05h46
Le café de Zagaz
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